Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique


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Vue de l'ouest, du piémont de la Montagne du Vauclin, sur la plaine littorale.vu 419 foisOn observe l'expansion de la monoculture bananière avec ses réservoirs destinés à l'irrigation et l'expansion périurbaine littorale des lotissements parfois assez éloignés de la commune. Le paysage montre bien le démantèlement des espaces auparavant consacrés à la culture de la canne à sucre au bénéfice des bananeraies et des friches agricoles où la forêt regagne du terrain. En 20 ans , depuis les années 1990, la Surface agricole utile de la Martinique a reculé de près de 27 % au profit essentiellement de zones en friche.
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Baie des mulets, île Petite Grenade et Pointe du Vauclinvu 499 foisUrbanisation importante sur la côte au vent, sur la baie des Mulets, à moins de 3 km du Vauclin. Au loin, l'îlet Petite Grenade et la Pointe du Vauclin.
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Les îlets du François et la baie du Simon.vu 453 foisCes ilets d'andésite sont issus de coulées volcaniques sous marines. Ces ilets constituent un attrait touristique du fait de la faible profondeur de l'Atlantique et des hauts fonds nombreux (la baignoire de Joséphine, les Fonds Blancs …). Ils sont protégés depuis 2007 par un arrêté préfectoral de protection du biotope, exception faite du grand îlet vers le nord, l'îlet Métrente. Cet îlet compte 21 résidences pour la plupart des résidences secondaires qui ne sont pas sans poser des problèmes sanitaires.
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Petites bananeraies près de la Manzo, au François.vu 455 foisCes petites exploitations de types familiales se rencontrent davantage vers l'intérieur des terres où le relief est plus difficile et les parcelles plus morcelées. La banane représente 16 000 emplois et près de 30% de la SAU en 2010. Elle s'impose peu après la crise sucrière et jugule l'exode rural des années 1970. Elle ne résout pas le problème de la diversification de l'agriculture trop soumise aux aléas de la mondialisation.
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Petites bananeraies près de la Manzo, au François.vu 372 foisCes petites exploitations de types familiales se rencontrent davantage vers l'intérieur des terres où le relief est plus difficile et les parcelles plus morcelées. La banane représente 16 000 emplois et près de 30% de la SAU en 2010. Elle s'impose peu après la crise sucrière et jugule l'exode rural des années 1970. Elle ne résout pas le problème de la diversification de l'agriculture trop soumise aux aléas de la mondialisation.
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Vergers d'agrumes près de la Manzo, au François.vu 388 foisNon loin de la retenue du barrage de la Manzo, un verger d'agrumes produisant limes, oranges et pamplemousse. La présence de ces vergers montre une volonté de diversifier les revenus d'une agriculture soumise à de nombreux aléas climatiques en sortant d'une stricte monoculture commerciale de la banane. La production est destinée au marché local.
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Les étapes de la culture du bananier.vu 418 foisLe bananier est une plante herbacée et non un arbre. Une fois la récolte faite, on met en culture des plants sains après avoir labouré et détruits les plants précédents. On évite ainsi de laisser pousser les surgeons de la récolte précédente souvent porteurs de parasites : c'est un moyen de limiter l'épandage de produits phytosanitaires. La maturation prend 9 mois au terme desquels on coupe la plante pour décrocher les régimes de bananes. A proximité, les bâtiments de conditionnement. Le réservoir d'eau assure l'irrigation durant la saison sèche, la croissance d'un bananier exigeant pas moins de 2 m d'eau par mois.
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La retenue du barrage de la Manzo.vu 478 fois8 millions de m3 d'eau, 85 ha. Le lac de retenue montre l'étroitesse des bassins versants de la Martinique, île caractérisée par ses reliefs chahutés. Cette étroitesse rend les crues subites et particulièrement dangereuses. De là la nécessité de réguler les apports des précipitations dans cette partie agricole de l'île. En effet, si la moyenne des précipitations à cet endroit est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la Carême (janvier/juin) et l'Hivernage.
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La retenue du barrage de la Manzo.vu 445 fois8 millions de m3 d'eau, 85 ha. Le lac de retenue montre l'étroitesse des bassins versants de la Martinique, île caractérisée par ses reliefs chahutés. Cette étroitesse rend les crues subites et particulièrement dangereuses. De là la nécessité de réguler les apports des précipitations dans cette partie agricole de l'île. En effet, si la moyenne des précipitations à cet endroit est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la Carême (janvier/juin) et l'Hivernage.
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Le barrage de la Manzo au François.vu 509 foisCe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue. Les cultures de cannes et de bananes réclament en effet entre 10 000 et 15 000 m3 d'eau à l'hectare par an. La moindre variation du niveau des précipitations peut donc porter préjudice aux récoltes notamment durant la période sèche du carême de janvier à juin.
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Pièce d'eau alimentée par le barrage de la Manzo au François.vu 437 foisLe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue. Les cultures de cannes et de bananes réclament en effet entre 10 000 et 15 000 m3 d'eau à l'hectare par an. La moindre variation du niveau des précipitations peut donc porter préjudice aux récoltes notamment durant la période sèche du carême de janvier à juin.
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Le barrage de la Manzo au François.vu 465 foisCe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue.Construit en 1979, il s'agit d'un barrage poids, de 27 mètres de haut sur 365 de large, une construction qui résiste à des secousses sismiques, formé d'enrochements et de terre. Alimenté essentiellement par des conduites forcées venues de la Lézarde (0,8 m3/s), il génère un lac de retenue de près de 8 millions de m3, couvrant 85ha. Un évacuateur de crue ou déversoir protège l'ouvrage.
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