Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique


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Le barrage de la Manzo au François.vu 454 fois8 millions de m3 d'eau, 85 ha. Le lac de retenue montre l'étroitesse des bassins versants de la Martinique, île caractérisée par ses reliefs chahutés. Cette étroitesse rend les crues subites et particulièrement dangereuses. De là la nécessité de réguler les apports des précipitations dans cette partie agricole de l'île. En effet, si la moyenne des précipitations à cet endroit est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la Carême (janvier/juin) et l'Hivernage.
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La retenue du barrage de la Manzo.vu 393 fois8 millions de m3 d'eau, 85 ha. Le lac de retenue montre l'étroitesse des bassins versants de la Martinique, île caractérisée par ses reliefs chahutés. Cette étroitesse rend les crues subites et particulièrement dangereuses. De là la nécessité de réguler les apports des précipitations dans cette partie agricole de l'île. En effet, si la moyenne des précipitations à cet endroit est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la Carême (janvier/juin) et l'Hivernage.
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Le barrage de la Manzo au François.vu 465 foisCe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue.Construit en 1979, il s'agit d'un barrage poids, de 27 mètres de haut sur 365 de large, une construction qui résiste à des secousses sismiques, formé d'enrochements et de terre. Alimenté essentiellement par des conduites forcées venues de la Lézarde (0,8 m3/s), il génère un lac de retenue de près de 8 millions de m3, couvrant 85ha. Un évacuateur de crue ou déversoir protège l'ouvrage.
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Le barrage de la Manzo au François.vu 414 foisCe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue. Les cultures de cannes et de bananes réclament en effet entre 10 000 et 15 000 m3 d'eau à l'hectare par an. La moindre variation du niveau des précipitations peut donc porter préjudice aux récoltes notamment durant la période sèche du carême de janvier à juin.
Construit en 1979, il s'agit d'un barrage poids, de 27 mètres de haut sur 365 de large, une construction qui résiste à des secousses sismiques, formé d'enrochements et de terre.
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Cannes à sucre et bananeraies le long de la rivière les Deux Courants au François.vu 345 foisProtégées de l'alizé par des haies d'érythrines, la canne à sucre est concurrencée par la banane dont on observe les bâtiments de conditionnement. Une ancienne carrière est à proximité. Au loin, sous les frondaisons, les bâtiments de l'habitation Clément, une rhumerie fondée au XVIIIe siècle, premier site touristique de la Martinique avec près de 30 000 visiteurs par an. La filière canne représente 5000 emplois contre 16 000 pour la banane qui couvre 30% de la SAU, en 2010.
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Le François sur la côte au vent, son canal et la pointe Michel, vus de l'ouest.vu 396 foisPetite ville de 18 000 habitants sur la côte Atlantique, elle compte un grand nombre d'entreprises dans la ZAC (Zone artisanale et commerciale) de Trianon au premier plan et de la Pointe Couchée derrière. Apparue au début des années 1980, l'aviculture y est très développée occupant près de 80 % du marché insulaire des œufs (sur l'habitation Bonnaire au premier plan) ou de la viande de volaille. La rivière Desrose au premier plan est canalisée en raison de ses crues importantes: c'est une zone inondable.
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Récolte mécanisée de la canne à sucre au Robert.vu 346 foisLes terres plantées en banane concurrencent depuis les années 70 et la crise de l'industrie sucrière, les terres plantées en cannes à sucre. Ces deux cultures réclament beaucoup d'eau (plus de 10 000m3 par ha annuels), des systèmes de drain efficaces et des sols pas trop acides, bien amendés en chaux d'où leur présence massive sur le littoral atlantique où le rendement est en moyenne de 70 tonnes à l'hectare. La récolte est mécanisée -coupeuses automatiques-. Elle oblige à une manutention rapide.
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Débarcadère utilisé par la zone industrielle du Robert.vu 405 foisIl s'agit des anciens débarcadères de l'usine sucrière du Robert fermée en 1963. Certains sont à présent utilisés par les entreprises présentes sur la zone industrielle de la Semair établie non loin (chaudronnerie, btp, grande distribution, alimentation, maintenance automobile...). Une carrière est également présente sur cette zone d'activité qui extrait de l'andésite et produit des granulats.
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Logements collectifs sur la pointe Hyacinthe sur la pointe Larose au Robert. vu 391 foisA proximité des terres agricoles et de la mangrove, une construction récente de logements sociaux.Ce paysage de bocage de la côte au vent montre des parcelles traditionnellement protégées par des haies d'érythrines sur lesquelles ont pratiquait la monoculture de la canne à sucre. En 20 ans , depuis les années 1990, la Surface agricole utile de la Martinique a reculé de près de 27 % au profit essentiellement de zones en friche.
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La pointe Hyacinthe sur la pointe Larose, mitage sur le littoral sud de la baie du Robert.vu 403 foisCe paysage de bocage de la côte au vent montre des parcelles traditionnellement protégées par des haies d'érythrines sur lesquelles ont pratiquait la monoculture de la canne à sucre. En 20 ans , depuis les années 1990, la Surface agricole utile de la Martinique a reculé de près de 27 % au profit essentiellement de zones en friche. Ces terres agricoles conquises sur la forêt littorale sont aujourd'hui convoitées : la périurbanisation pousse à la construction de logements collectifs et de zones résidentielles en bord de mer, près de la mangrove. C'est le mitage.
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La pointe Hyacinthe sur la pointe Larose, mitage sur le littoral sud de la baie du Robert.vu 433 foisCe paysage de bocage de la côte au vent montre des parcelles traditionnellement protégées par des haies d'érythrines sur lesquelles ont pratiquait la monoculture de la canne à sucre. En 20 ans , depuis les années 1990, la Surface agricole utile de la Martinique a reculé de près de 27 % au profit essentiellement de zones en friche. Ces terres agricoles conquises sur la forêt littorale sont aujourd'hui convoitées : la périurbanisation pousse à la construction de logements collectifs et de zones résidentielles en bord de mer, près de la mangrove. C'est le mitage.
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La pointe Hyacinthe sur la pointe Larose, mitage sur le littoral sud de la baie du Robert.vu 426 foisLa baie du Robert, port naturel, bien protégée et ouverte sur l'Atlantique a été colonisée tardivement dès la fin du XVIIe siècle. Les pointes -noms donnés aux presqu'îles- et les îlets du Robert ont en effet constitué les derniers refuges des amérindiens Caraïbes. La périurbanisation de la 3e commune de Martinique aboutit au mitage de ce littoral, peu à peu défriché et à la conquête progressive des terres agricoles.
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