Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique


IMG_1187.jpg
Les bassins de décantation des effluents de la SNYL, au Vert Pré (Le Robert).vu 556 foisLes eaux usées provenant de l'usine agroalimentaire sont retraitées avant d'être relarguées afin de prévenir les risques de pollution sur le bassin versant de la Lézarde. On voit ici l'action des brasseurs et des diffuseurs qui assurent la réoxygénation de l'eau. Cela permet aux bactéries (couleur rouge) de dégrader plus facilement les boues. On parle alors de « boues activées ».
IMG_1191.jpg
Station d'épuration dans le quartier de Plaisance au Lamentin.vu 482 foisLa proximité d'une zone de confluence (Lézarde-Rivière Blanche), celle des zones agricoles et l'éloignement des grandes aires urbaines, obligent à un retraitement de l'eau autonome. Ici, la station d'épuration Plaisance-Désirade, du Lamentin, non loin de la Lézarde a une capacité de 3500 équivalent-habitants (EH). L'opérateur et le maître d'ouvrage est la CACEM, la Communauté d'Agglomération du Centre de la Martinique.
IMG_1192.jpg
Exploitations agricoles familiales le long de la Lézarde, vue de l'est.vu 451 foisEntre les cultures commerciales d'exportation (bananes), des cultures de type vivrier avec du maraîchage et de l'arboriculture s'étendent le long de la Lézarde. Les crues fréquentes de ce cours d'eau dont le bassin versant de 116 km² et le débit parfois multiplié par 300 (de 1,8 à plus de 500m3/s) contribuent à irriguer et fertiliser la plaine. Les haies d’érythrines protègent quant à elles, les plantations commerciales des épisodes cycloniques venus, avec l'alizé, de l'est.
IMG_1196.jpg
Le musée de l'Habitation Belfort, au Lamentin.vu 479 foisLe bâtiment d'accueil et le musée de l'Habitation Belfort consacré à l'agriculture locale et à l'industrie bananière. Cette plantation s'oriente désormais vers l' « agriculture raisonnée » en réduisant les épandages polluants. Elle pratique également l'agriculture biologique de fruits tropicaux divers et l'agritourisme.
IMG_1197.jpg
Les bâtiments d'exploitation de la plantation Belfort, au Lamentin.vu 469 foisLes bâtiments d'exploitation de la plantation Belfort assurent le conditionnement de la production. La plantation possède une société familiale de transformation des fruits tropicaux en fruits séchés créée en 1997, la société Caraïb'fruit.
Les camions chargent les containers et accèdent par une départementale à moins de quelques minutes des grands axes de communication de l'île. La banane représente près de 16 000 emplois directs et indirects en 2010.
IMG_1198.jpg
L'Habitation Belfort dans le quartier Soudon au Lamentin.vu 476 foisL'Habitation Belfort dans le quartier Soudon au Lamentin. Située au nord-est de la plaine du Lamentin, cette plantation bananière familiale de 65ha, ouverte depuis les années 1980, durement éprouvée par les épisodes cycloniques, s'est récemment convertie au « tourisme vert », l'agritourisme, avec l'ouverture d'un parc arboré et d'un musée à l'entrée de la plantation, consacré à l'agriculture créole et aux visites touristiques de la plantation. Cette plantation exporte 90 % de sa production de banane.
IMG_1200.jpg
La Centrale des Carrières au Lamentin, quartier Long Pré, le long des bananeraies.vu 453 foisCréée en 1980, cette entreprise gère l'extraction des gravières d'andésite. Le groupe Centrale des Carrières exploite trois carrières en Martinique dégageant près de 300 000 t de graviers, enrochements et terres végétales utilisés pour les remblais et les terrassements. Le BTP est un des premiers secteurs industriels de l'île avec pas moins de 5% des emplois de l'île. Cette filière doit assurer ses approvisionnements localement et les schémas d'aménagement intégrent l'extension des carrières.
IMG_1204.jpg
La Centrale des Carrières au Lamentin, quartier Long Pré, le long des bananeraies.vu 430 foisCréée en 1980, cette entreprise gère l'extraction des gravières d'andésite. Le groupe Centrale des Carrières exploite trois carrières en Martinique dégageant près de 300 000 t de graviers, enrochements et terres végétales utilisés pour les remblais et les terrassements. Le BTP est un des premiers secteurs industriels de l'île avec pas moins de 5% des emplois de l'île. Cette filière doit assurer ses approvisionnements localement et les schémas d'aménagement intégrent l'extension des carrières.
IMG_1205.jpg
La Centrale des Carrières au Lamentin, quartier Long Pré, le long des bananeraies.vu 461 foisCréée en 1980, cette entreprise gère l'extraction des gravières d'andésite. Le groupe Centrale des Carrières exploite trois carrières en Martinique dégageant près de 300 000 t de graviers, enrochements et terres végétales utilisés pour les remblais et les terrassements. Le BTP est un des premiers secteurs industriels de l'île avec pas moins de 5% des emplois de l'île. Cette filière doit assurer ses approvisionnements localement et les schémas d'aménagement intégrent l'extension des carrières.
IMG_1208.jpg
La zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin et ses grandes surfaces.vu 469 foisUne des cinq grandes zones industrielles du Lamentin. On y trouve également des coopératives agricoles comme l'ancienne SOCOPMA (1981-2013).
IMG_1209.jpg
Cultures maraîchères (tomates et salades) du quartier Long Pré au Lamentin.vu 471 foisSituées le long des bananeraies, ces cultures maraîchères périurbaines (tomates, salades, concombres...) se situent sur une plaine fertile et irriguées. Elles sont aussi à quelques minutes de l'autoroute et des grands axes de distribution. On trouvait non loin de là, la zone industrielle de Place d'Armes qui abritait le siège de la coopérative des maraîchers, la SOCOPMA, de 1981 à 2013.
IMG_1211.jpg
Logements collectifs de Bois d'Inde dans le quartier Acajou.vu 536 foisBanlieue du Lamentin, près de la zone industrielle des Mangles. Deuxième aire urbaine de l'île avec près de 40 000 habitants en 2010, sa population a augmenté de moitié en 20 ans exigeant la construction rapide de logements collectifs.
209 photos sur 18 page(s) 16