Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique


Derniers ajouts - DISCIPLINES
IMG_0841.jpg
Zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 614 foisVue de la Lézarde par le sud, elle concentre un grand nombre de grandes surfaces. On y voit les rond points qui fixent ces aménagements et le réseau des canaux de drainage de la plaine -inondable-. Les zones résidentielles et les logements collectifs se pressent autour de ces zones industrielles.
La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).
12 Septembre 2013
IMG_0840.jpg
Zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 547 foisVue de la Lézarde par le sud, elle concentre un grand nombre de grandes surfaces. On y voit les rond points qui fixent ces aménagements et le réseau des canaux de drainage de la plaine -inondable-. Les zones résidentielles et les logements collectifs se pressent autour de ces zones industrielles.
La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).
12 Septembre 2013
IMG_0839.jpg
Périurbanisation sur la zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 644 foisLa périurbanisation gagne sur les champs cultivés et sur des zones à risque : la Lézarde passe juste devant le lotissement assis sur des remblais qui ne dominent le cours d'eau que de 2 ou 3 mètres. Près de 3000 personnes seraient concernées par le risque de submersion et d'inondation sur la zone du Lamentin. La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).12 Septembre 2013
IMG_0838.jpg
La plaine du Lamentin : monoculture de la canne et de la banane irriguée par la Lézarde.vu 718 foisLa Lézarde est le plus grand bassin versant de l'île avec près de 116km². Si la moyenne des précipitations y est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la saison sèche (le Carême, janvier à juin) et la saison des pluies (Hivernage, juin à décembre). Or chaque année, l'agriculture consomme 10 millions de m3 d'eau, soit le quart des prélèvements domestiques... La banane plus encore que la canne est très exigeante en eau (plus de 10 000m3 annuel à l'ha ). La banane représente près de 16 000 emplois directs et indirects en 2010 tandis que la filière canne en génère 5000.
Au fond : les hauteurs du morne Pitaut et une carrière d'andésite à Croix Rivail.
12 Septembre 2013
IMG_0983.jpg
Pointe Catherine sur la pointe des Salines. Sainte Anne.vu 392 foisLe « sable » blanc des Caraïbes, si recherché par le tourisme local, n'est en fait que la calcite érodée provenant des mollusques et des madrépores. Le cordon littoral assis sur des fonds coralliens a isolé des lagunes formant une sorte de côte à lido où les mangroves se développent et où les tannes se forment, sorte de marais en voie d'assèchement. La plage des Salines est un des attraits touristiques majeurs de la Martinique. Protégé, cet espace est menacé par le tourisme de masse.10 Septembre 2013
     
209 photos sur 18 page(s) 18