Galerie photo - Académie de la Martinique

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Résultats de la recherche - "logement"
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Périurbanisation sur la zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 644 foisLa périurbanisation gagne sur les champs cultivés et sur des zones à risque : la Lézarde passe juste devant le lotissement assis sur des remblais qui ne dominent le cours d'eau que de 2 ou 3 mètres. Près de 3000 personnes seraient concernées par le risque de submersion et d'inondation sur la zone du Lamentin. La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).
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Zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 547 foisVue de la Lézarde par le sud, elle concentre un grand nombre de grandes surfaces. On y voit les rond points qui fixent ces aménagements et le réseau des canaux de drainage de la plaine -inondable-. Les zones résidentielles et les logements collectifs se pressent autour de ces zones industrielles.
La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).
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Zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 614 foisVue de la Lézarde par le sud, elle concentre un grand nombre de grandes surfaces. On y voit les rond points qui fixent ces aménagements et le réseau des canaux de drainage de la plaine -inondable-. Les zones résidentielles et les logements collectifs se pressent autour de ces zones industrielles.
La Lézarde est vectrice d'inondation importante notamment sur les grands axes de communication : son débit annuel moyen (1,8 m3/s ) étant régulièrement multiplié par 10 (81m3/s) voire par 80 lors des crues décennales (140m3/s) ou par 300 (600m3/s durant quelques heures en 1970 soit le régime moyen de la Seine).
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Zone industrielle de Place d'Armes au Lamentin.vu 2247 foisVue de la Lézarde par le sud, elle concentre un grand nombre de grandes surfaces. On y voit les rond points qui fixent ces aménagements et le réseau des canaux de drainage de la plaine -inondable-. Les zones résidentielles et les logements collectifs se pressent autour de ces zones industrielles.
L'ïle comprend 32 MW de puissance installée pour l'énergie photovoltaïque en 2012. Avec un rendement faible de 14 % -même en milieu tropical-, c'est à peu près la consommation de 5000 habitants (39 GWh/an).
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Zone de loisirs récente à la cité Petit Manoir au Lamentin.vu 572 foisCourts de tennis, circuit de modélisme (voiture), salles et terrains de sport sont construits à proximité d'un quartier défavorisé de la périphérie du Lamentin, cerné par les zones industrielles. A l'arrière plan, le lycée professionnel de Petit Manoir, créé en 1969, de 600 élèves et le collège de Petit Manoir, en zone d'éducation prioritaire. Le château d'eau dans cette zone, montre que l'on est bien dans une plaine ce qui n'est pas sans poser des problèmes sur le plan de la distribution de l'eau (pressurisation).
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Vue sur Fort de France de l'ouest.vu 582 foisSur les mornes les quartiers Trénelle, Citron à l'arrière plan. Cet habitat spontané s'est particulièrement développé avec la crise de l'industrie sucrière dès les années 70 et le fort exode rural qui a suivi. Des estimations du ministère avancent que 30 % des constructions dans l'île auraient été réalisées sans permis, ce qui a alimenté le mitage des zones naturelles. L'espace des mornes, jusque là peu valorisé, difficile et où la pression foncière était absente a été massivement occupé. Situées à proximité des ravines de la Rivière Madame, ces zones sont aujourd'hui des zones à risques, sujettes aux glissements de terrain. On repère le carroyage colonial de Fort de France et les nouveaux aménagements : le chantier de la tour à la Pointe Simon (2008-2012), le centre commercial du cours Perrinon (22 000m², 2009 ) en centre ville. La rocade de Fort de France ouverte en 1980 sépare distinctement les quartiers d'habitats spontanés du reste de la ville.
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La Pointe de la Vierge à Schoelcher et le lycée Bellevue.vu 607 foisUne base nautique, une maison des sports en bordure de mer, puis au second plan à l'ouest, le lycée Bellevue et plus à l'est le lycée technique de la Pointe des Nègres ouverts respectivement en 1961 et 1957. Le stade Louis Achille est bien plus ancien, jadis dans les périphéries rurales de Fort de France. C'est l'histoire d'un espace jadis rural aujourd'hui considérablement urbanisé, à la périphérie de deux agglomérations.
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La rocade (Nationale 2) entre Schoelcher et Fort de France.vu 566 foisLa route nationale construite en 1963 et ses échangeurs fixent l'emplacement des grandes surfaces très nombreuses. Ces grandes surfaces, pour la plupart construites à la fin des années 1980, sont des hypermarchés (plus de 2500m²) et touchent essentiellement la clientèle venue, sur cet axe, de la périphérie et du littoral nord caraïbe.
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La cité Ozanam à Schoelcher.vu 555 foisPrès de la Nationale 2 construite en 1963, axe de la périurbanisation entre Schoelcher et Fort de France, la cité Ozanam est le plus grand ensemble HLM de l'île. Construit entre 1973 et 1975, il regroupe pas moins de 20 barres-jusqu'à 12 étages-, 900 logements et plus de 3000 habitants sur moins de 17 ha. Cet ensemble, en 2010 rénové, fait toujours face à des problèmes d'insécurité.
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L'Anse Gouraud et la cité Ozanam à Schoelcher.vu 507 foisLa continuité urbaine est très visible entre Schoelcher et Fort de France. La jonction se fait autour de la Nationale 2 construite en 1963, l'axe de la périurbanisation. La cité Ozanam est le plus grand ensemble HLM de l'île. Construit entre 1973 et 1975, il regroupe pas moins de 20 barres-jusqu'à 12 étages-, 900 logements et plus de 3000 habitants sur moins de 17 ha. Cet ensemble, en 2010 rénové, fait toujours face à des problèmes d'insécurité.
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Une « cité » au Marin rénovée : la résidence Gaïac (140 logements sociaux).vu 611 foisDès 2008, la Simar, maître d'ouvrage d'une grande partie des logements sociaux de l'île, équipe son parc de panneaux photovoltaïques (30 000m² potentiels ; 3,3 MW installés). On fournit ainsi en 2009, 5000 MWh par an soit la consommation annuelle de 650 habitants. C'est faible : en effet, tributaire de la météo, la puissance réelle du photovoltaïque ne représente en moyenne que 14 % de la puissance installée, même sous les tropiques ; c'est une des limites des énergies renouvelables...
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Logements collectifs de Bois d'Inde dans le quartier Acajou.vu 534 foisBanlieue du Lamentin, près de la zone industrielle des Mangles. Deuxième aire urbaine de l'île avec près de 40 000 habitants en 2010, sa population a augmenté de moitié en 20 ans exigeant la construction rapide de logements collectifs.
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