Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique

Résultats de la recherche - "rural"
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La plaine du Lamentin : monoculture de la canne et de la banane irriguée par la Lézarde.vu 723 foisLa Lézarde est le plus grand bassin versant de l'île avec près de 116km². Si la moyenne des précipitations y est d'environ 180 mm par mois, cette quantité peut en revanche, varier de 1 à 5 entre la saison sèche (le Carême, janvier à juin) et la saison des pluies (Hivernage, juin à décembre). Or chaque année, l'agriculture consomme 10 millions de m3 d'eau, soit le quart des prélèvements domestiques... La banane plus encore que la canne est très exigeante en eau (plus de 10 000m3 annuel à l'ha ). La banane représente près de 16 000 emplois directs et indirects en 2010 tandis que la filière canne en génère 5000.
Au fond : les hauteurs du morne Pitaut et une carrière d'andésite à Croix Rivail.
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Vue sur Fort de France de l'ouest.vu 585 foisSur les mornes les quartiers Trénelle, Citron à l'arrière plan. Cet habitat spontané s'est particulièrement développé avec la crise de l'industrie sucrière dès les années 70 et le fort exode rural qui a suivi. Des estimations du ministère avancent que 30 % des constructions dans l'île auraient été réalisées sans permis, ce qui a alimenté le mitage des zones naturelles. L'espace des mornes, jusque là peu valorisé, difficile et où la pression foncière était absente a été massivement occupé. Situées à proximité des ravines de la Rivière Madame, ces zones sont aujourd'hui des zones à risques, sujettes aux glissements de terrain. On repère le carroyage colonial de Fort de France et les nouveaux aménagements : le chantier de la tour à la Pointe Simon (2008-2012), le centre commercial du cours Perrinon (22 000m², 2009 ) en centre ville. La rocade de Fort de France ouverte en 1980 sépare distinctement les quartiers d'habitats spontanés du reste de la ville.
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L'anse du Petit et du Grand Macabouvu 352 foisCette plage sauvage de la côte au vent est bordé par une forêt xérophile protégée. L'absence de routes asphaltée limite l'extension du quartier du Macabou et la fréquentation de ces plages bordées de cocotiers. On observe la présence de lagunes alimentées par le bassin versant et comprenant parfois un chenal de marée.
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Pièce d'eau nécessaire à l'irrigation vu 343 foisLa polyculture maraîchère exige également la maîtrise précise des techniques d'irrigation. Ces pièces d'eau sont souvent alimentées par des conduites forcées venues de la Lézarde.
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Polyculture au Vauclin: une exploitation de salades.vu 358 foisUne polyculture vivrière dans une paysage de bocage tropical sur les pentes du quartier Paquemar. Le Vauclin est parmi les premiers producteurs de tomates, salades, haricots, choux, melons et pastèques. Ici, une exploitation de plus de 6ha produit en plein champs près de 10 000 têtes de batavia par semaine. La maîtrise de l'irrigation y est essentielle.
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Polyculture au Vauclin: une exploitation de salades.vu 341 foisUne polyculture vivrière dans une paysage de bocage tropical sur les pentes du quartier Paquemar. Le Vauclin est parmi les premiers producteurs de tomates, salades, haricots, choux, melons et pastèques. Ici, une exploitation de plus de 6ha produit en plein champs près de 10 000 têtes de batavias par semaine. La maîtrise de l'irrigation y est essentielle.
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Le quartier du Macabou au Vauclinvu 403 foisAu milieu d'un paysage de bocage tropical, avec ses haies d'érythrine qui servent de coupe-vent, le quartier littoral du Macabou au Vauclin, près des Mangroves, situé non loin de l'emplacement d'une ancienne plantation : l'Habitation Mallevaud. Non loin, le maraîchage se développe (salades, haricots, tomates...)Entre le Vauclin et le François, on trouve l'essentiel des exploitations laitières de la Martinique (une douzaine). La collecte, assurée par la coopérative Cooprolam, est inférieur au million de litres par an.
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Les éoliennes du Morne Carrière au Vauclin face à l'Atlantique.vu 453 foisEn 2004, une ferme de 4 éoliennes de 275 KW, est mise en service au Vauclin, sur le Morne Carrière, par la société Aerowatt où l'alizé s'établit à 27km/h de moyenne. Avec une production de 2400 MWh par an, cette ferme peut approvisionner 300 habitants. Petites, ces éoliennes sont escamotables en période cyclonique ; elles sont donc fortement tributaires de la météo. Leur puissance réelle ne représente en effet que 22 % de leur puissance nominale ! C'est là tout le problème de l'énergie « renouvelable »...
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Les éoliennes du Morne Carrière au Vauclin face à l'Atlantique.vu 431 foisEn 2004, une ferme de 4 éoliennes de 275 KW, est mise en service au Vauclin, sur le Morne Carrière, par la société Aerowatt où l'alizé s'établit à 27km/h de moyenne. Avec une production de 2400 MWh par an, cette ferme peut approvisionner 300 habitants. Petites, ces éoliennes sont escamotables en période cyclonique ; elles sont donc fortement tributaires de la météo. Leur puissance réelle ne représente en effet que 22 % de leur puissance nominale ! C'est là tout le problème de l'énergie « renouvelable »...
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Les éoliennes du Morne Carrière au Vauclin face à l'Atlantique.vu 384 foisEn 2004, une ferme de 4 éoliennes de 275 KW, est mise en service au Vauclin, sur le Morne Carrière, par la société Aerowatt où l'alizé s'établit à 27km/h de moyenne. Avec une production de 2400 MWh par an, cette ferme peut approvisionner 300 habitants. Petites, ces éoliennes sont escamotables en période cyclonique ; elles sont donc fortement tributaires de la météo. Leur puissance réelle ne représente en effet que 22 % de leur puissance nominale ! C'est là tout le problème de l'énergie « renouvelable »...
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La carrière Paquemar au Vauclin et les bananeraies.vu 374 foisEnvironnée de bananeraies, la carrière Paquemar au Vauclin, ouverte en 1981, extrait des pierres de construction de l'andésite. La culture extensive des bananes semblent parfois faire fi du paysage de bocage traditionnel dans une zone pourtant bien ventée. Entre le Vauclin et le François, on trouve l'essentiel des exploitations laitières de la Martinique (une douzaine). La collecte, assurée par la coopérative Cooprolam, est inférieur au million de litres par an.
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Agriculture sous serres au Vauclinvu 385 foisPépinières, horticulture, élevage porcin, bovins et productions maraîchères (salades, concombres, choux, haricots, tomates...) font partie des stratégies de diversification d'une agriculture qui tente de se sortir de la monoculture bananière dans une région où la maîtrise de l'irrigation est essentielle. Si l'ensoleillement est assuré, ce n'est pas le cas de la régularité des précipitations : la serre a alors plus vocation à servir d'abri.
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