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Vue sur l'Anse Mitan aux Trois îlets.411 viewsSur le plan touristique, la commune des Trois îlets représente à elle seule 28 % des capacités hôtelières de l'île. Les complexes hôteliers se sont fixés sur l'Anse Mitan, une plage de "sable" blanc de 1 Km. A moins de 50 mètres, on remarque les bungalows (132 chambres) du complexe hôtelier Bambou qui joue sur le caractère « authentique » « nature » « foklorique », l'idée d'un « village touristique ». Il est ouvert en 1983, avec l'essor du tourisme de masse aux Antilles.
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Le tombolo de la Pointe du Bout aux Trois Ilets.410 viewsCes presqu'îles très découpées sur la côte sous le vent tranchent avec le continuum du nord caraïbe. Elles sont liées à l'activité volcanique très intense il y a 2 millions d'années. Fortement érodées sur le littoral, il ne reste des pentes de certains volcans que les dykes, les anciennes remontées magmatiques qui forment aujourd'hui l'essentiel des mornes, des presqu'îles et des îlets. A la différence du nord de l'île ces reliefs d'andésite ont été colonisés très tôt par les récifs coralliens: le « sable » blanc des Caraïbes, si recherché par le tourisme local, n'étant en fait que la calcite érodée provenant des mollusques et des madrépores.
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Radar météo du Morne Pavillon près du Diamant.409 viewsSitué à 380 mètres de hauteur, le radar météorologique de la Martinique est utilisé pour les prévisions cycloniques et les prévisions météorologiques en liaison avec la préfecture et l'aéroport. A l'arrière plan, le Morne Larcher (480m) qui ferme ici un véritable "parc volcanique" de la presqu'île sud-ouest de l'île.
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Les éoliennes du Morne Carrière au Vauclin face à l'Atlantique.409 viewsEn 2004, une ferme de 4 éoliennes de 275 KW, est mise en service au Vauclin, sur le Morne Carrière, par la société Aerowatt où l'alizé s'établit à 27km/h de moyenne. Avec une production de 2400 MWh par an, cette ferme peut approvisionner 300 habitants. Petites, ces éoliennes sont escamotables en période cyclonique ; elles sont donc fortement tributaires de la météo. Leur puissance réelle ne représente en effet que 22 % de leur puissance nominale ! C'est là tout le problème de l'énergie « renouvelable »...
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Les Trois Ilets, sur la pointe Des Grottes.408 viewsDepuis les années 90, la population jusque là stable, augmente de 50 % pour atteindre en 2010 plus de 7000 habitants. L'existence d'une navette et d'un axe de communication avec Fort de France n'y est pas étrangère, pas plus que l'essor touristique de la bourgade avec l'une des plus fortes concentration d'hôtel de l'île (28% des capacités hotelières de l'île). Les îlets et leurs récifs fournissaient la chaux nécessaire à l'industrie sucrière.
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Sainte Luce407 viewsCommune de près de 10 000 habitants en 2010, elle a vu sa population doubler en moins de 30 ans. Cet essor est visible depuis au moins les années 1980. Le village fondé autour de l'exploitation sucrière et devenue une véritable ville. On y maintient une distillerie de rhum : la distillerie Trois Rivières. La commune joue également de sa proximité avec le grand axe de communication qui la relie à Fort de France ou au Lamentin : la Nationale 5. C'est une commune de villégiature portée par la croissance des quartiers résidentiels et une périurbanisation galopante.
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Le Club Méditerranée à Sainte Anne sur la plage les Boucaniers.407 viewsOuvert en 1969, avec les débuts du tourisme de masse aux Antilles, cette établissement de 292 chambres repose sur l'idée du « village de vacance » « créole », un ensemble de bungalows quatre étoiles, à proximité des plages et d'une grande cocoteraie artificielle. Cet établissement génère 250 emplois en saison (décembre/mai). Les activités nautiques sont valorisées : ski nautique, plongée... et participent de l'attractivité de l'établissement comme le souligne l'appontement fantaisiste...
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Exploitation bananière du Vauclin.407 viewsLe réservoir destiné à l'irrigation et le réseau des « traces » destiné au convoyage mécanique des régimes lors de la récolte. Ces grandes plantations de la côte au vent sont particulièrement exposées lors des grands épisodes cycloniques. La banane plus encore que la canne est par ailleurs très exigeante en eau (plus de 10 000m3 annuel à l'ha ) dans une région pourtant relativement sèche. Un lotissement est en construction.
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Pièce d'eau alimentée par le barrage de la Manzo au François.407 viewsLe barrage est destiné à l'irrigation des cultures commerciales et maraîchères de la plaine du Lamentin ; de là, la présence de la station de pompage au bas de la retenue. Les cultures de cannes et de bananes réclament en effet entre 10 000 et 15 000 m3 d'eau à l'hectare par an. La moindre variation du niveau des précipitations peut donc porter préjudice aux récoltes notamment durant la période sèche du carême de janvier à juin.
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L'Habitation Desporte et ses carrières inondées à Sainte Luce.406 viewsD'anciennes carrières d'andésite de 10ha sont abandonnées en dépit d'un projet de la Centrale des Carrières prévoyant 180 000t par an. La proximité du lotissement et l'opposition locale des habitants de 2007 à 2011, soutenus par une association écologiste (ASSAUPAMAR) a empêché la reprise de l'activité industrielle. Compte tenu des besoins du BTP, seule industrie en développement sur l'île, le schéma régional (1998-2005) prévoit l'extension des carrières mais estime aussi leur multiplication incompatible avec le développement touristique de l'île. Non loin, l'élevage bovin à viande, répandu sur les anciennes terres sucrières de Sainte Luce.
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Le quartier résidentiel Les Côteaux à Sainte Luce.406 viewsLa plaine des Trois Rivière subit une forte pression urbaine dès le début des années 2000, le long de la Nationale 5. On y trouve maintenant des lotissements et des résidences de tourisme comme des lotissements ouvert à une clientèle de retraités (lotissement les Gardénias) et d'handicapés (centre Ti-baume de l'ADAPEI). L'échangeur constitue ici le point de fixation du lotissement. La décharge de Céron est en arrière plan près de la mangrove.
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L'usine sucrière du Galion à la Trinité.406 viewsFondée en 1865, au débouché de la rivière du Galion sur l'Atlantique, cette usine demeure en 2010, la seule usine sucrière encore en activité sur l'île. Elle peut produire 32 tonnes de sucre par jour. Sa consommation en énergie serait équivalente à celle d'une ville de 17 000 habitants ; de là la nécessité d'utiliser la bagasse, les résidus de cannes à sucre, pour alimenter les chaudières. L'usine traite en période de récolte (de janvier à mai), 700 à 900 tonnes de cannes à sucre par jour. Elle se situe donc non loin de la Nationale 1 et des plantations de cannes à sucre de la côte au vent ; la manutention doit être rapide afin d'éviter la dégradation des cannes .
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